Samedi 29 et dimanche 30 avril, l’équipe Loisir des Castors d’Avignon s’est déplacée à Albertville pour jouer son avant dernier tournoi de l’année. Voici le récit de leur épopée :

Comment résumer ce week-end que l’on vient de passer, je dirai qu’il y a eu comme une erreur de casting 🤣.

Nous nous sommes retrouvés dans un tournoi qui n’avait rien de débutant, avec des joueurs face à nous qui ont tout de même fait un petit tour par la case Magnus, donc un "petit" niveau français 🤣 !

Comme vous pouvez l’imaginer, les matchs se sont déroulés sans aucun suspense pour Avignon… Après une première journée très difficile, tous les clubs en face nous ont encouragés et nous disaient "ne lâchez rien". Tout le monde pensait que nous allions baisser les bras et repartir chez nous le lendemain. Mais l’histoire s’écrivit différemment. Dimanche matin, à notre arrivée à la patinoire d’Albertville, nous avons surpris toutes les équipes qui ont vite compris que les Castors d’Avignon ne lâcheraient rien. Nous avons fait chavirer le cœur des supporters de notre côté ; désormais toutes les équipes chantaient des chansons pour soutenir notre équipe.

Nous avons été ovationnés à la remise de la coupe, en tant que bons derniers, comme si nous étions à la première place ! Enfin, nous avons gagné le prix de l’équipe Fairplay du tournoi. Nous avons mis l’ambiance et cette reconnaissance, bien méritée, nous a fait énormément plaisir. Ce tournoi nous a permis de laisser une très belle image de notre équipe mais aussi prouvé à tous que nous avions un cœur immense.

Pour conclure, nous finirons par une citation qui nous a accompagnée tout le week-end, celle un très "grand philosophe français", Jean-Claude Dusse : "Oublie que t'as aucune chance, vas-y fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher !" 🤣😜🤣

Un très grand merci au club d’Albertville pour l’invitation, à tous les autres clubs qui ont joué contre nous, à tous ceux qui nous ont encouragés et une mention spéciale à nos deux groupies du week-end, merci les filles 😉 !

Par Frédéric Mouries